Sur la porte d'un bureau d'étude néerlandophone, il y a un panneau: " Ici,
on parle flamand "!
En face, sur la porte du bureau d'étude francophone, il y a un autre
panneau: " Ici, on ne parle pas, on travaille... "
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Un homme se cogne contre une femme dans un hall d'hôtel. Durant la
collision son coude butte contre la poitrine de celle-ci. Ils sont tout
deux surpris.
L'homme se tourne vers elle et dit :
" Madame, si votre coeur est aussi doux que votre poitrine, je sais que
vous me pardonnerez. "
Ce à quoi elle répond :
" Si votre queue est aussi dure que votre coude, je suis dans la chambre
221 "
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Un homme d'affaire monte à bord d'un train et se retrouve assis à côté
d'une superbe femme. Il remarque qu'elle est en train de lire un livre
sur les statistiques sexuelles.
Il l'interroge sur ce sujet, et elle répond :
" C'est un livre très intéressant. Ainsi les Italiens sont ceux dont le
pénis est le plus long, et les Belges sont ceux qui savent le mieux
s'en servir. Au fait je m'appelle Florence. Et vous ? "
" Giuseppe Van Den Abeelde, enchanté de vous rencontrer. "
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Dimanche 6 heures du matin, l'homme se lève sans faire de bruit pour ne
pas réveiller son épouse. Il charge son VTT dans la voiture, et s'en
va.
Arrivé sur le parcours il se met à tomber des trombes d'eau. Sa matinée
est foutue, il décide de rentrer chez lui. Il se déshabille sans faire
de bruit, et se recouche doucement tout prêt de son épouse, et lui
chuchote à l'oreille :
" Il pleut comme vache qui pisse " ..
Et elle, répond :
" Quand je pense que l'autre con est en train de pédaler........ ".
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Un soir, alors qu'un couple se couche, le mari commence à caresser le
bras de sa femme.
Elle se retourne et lui dis :
" Je suis désolée chéri, j'ai un rendez-vous chez le gynécologue demain
et je veux rester fraîche".
Le mari déçu se retourne. Quelques minutes plus tard, il se tourne de
nouveau vers sa femme.
" Est-ce que tu as aussi un rendez-vous chez le dentiste demain ?"
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Un prêtre et une nonne sont dans une tempête de neige. Après un moment,
ils trouvent une petite cabane. Exténues, ils se préparent à dormir. Il y a
une pile de couvertures et un duvet sur le sol, mais seulement un lit.
Gentleman, le prêtre dit :
" Ma soeur, vous dormirez dans le lit, et je dormirai sur le sol, dans
le duvet. "
Alors qu'il venait juste de fermer son duvet, et commençait à s'endormir,
la nonne dit :
" Mon père, j'ai froid "
Il ouvre la fermeture de son duvet, se lève, prend une couverture et la
pose sur elle.
De nouveau, il s'installe dans le duvet, le ferme et se laisse sombrer
dans le sommeil, quand la nonne dit encore :
" Mon père, j'ai toujours très froid ".
Il se lève a nouveau, met une autre couverture sur elle et retourne se
recoucher.
Juste au moment ou il ferme les yeux, elle dit :
" Mon père, j'ai siiiiii froid "
Cette fois, il reste couché et dit :
" Ma soeur, j'ai une idée : nous sommes ici au milieu de nulle part, et
personne ne saura jamais ce qui s'est passé. Faisons comme si nous étions
mariés".
Enfin exaucée, la nonne répond :
" Oui, c'est d'accord ".
Et le prêtre crie :
" Alors tu lèves ton cul et tu prends toi même ta putain de couverture,
conasse !!! "
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Quand j'étais jeune, maman m'envoyait au magasin et je revenais avec un
jambon, un pain, des cigarettes, 2 ou 3 magazines, et plein de bonbons.
Tout ça avec 20 francs.
Aujourd'hui, c'est impossible avec toutes ces caméras accrochées au mur !
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Plusieurs années avant la guerre en Afghanistan, Barbara Walters avait
écrit un article sur l'égalité des sexes à Kaboul. Elle avait noté que
les femmes marchaient respectueusement à 10 pas derrière leur mari. Elle
est revenue à Kaboul récemment et a remarqué que les hommes marchaient
maintenant à plusieurs mètres derrière leur femme.
Mme Walters s'est approchée d'une des femmes afghanes et lui a dit :
" C'est merveilleux ! Pouvez-vous dire au monde libre ce qui a permis aux
femmes d'obtenir ce renversement des rôles ? "
Réponse de la femme afghane :
" Les mines anti-personnelles connasse !!!